Mais que se cache-t-il aux confins de notre système solaire ? Arrokoth – l’objet le plus éloigné jamais observé par une sonde spatiale – révèle aujourd’hui une chimie de surface complexe qui résulterait de l’interaction entre rayonnement cosmique et matière, avec la formation de sucres essentiels pour les briques du vivant. C’est ce que suggère une étude publiée dans PNAS et menée par des chimistes du CNRS en collaboration avec des scientifiques américains.